logo superforge
Nos projets clients
Notre expertise
L’équipe
Blog
Publié le
31
October
2022
Mise à jour le
8
minutes

Interview : Stanislas Verjus

Stephanie
Menezes

Nous sommes allés à la rencontre de Stanislas Verjus aka Stan pour qu’il nous raconte son histoire, de la découverte du NoCode à aujourd’hui. Attention, accrochez-vous, ça va décoiffer car Stan a plus d’un tour dans son sac.

"Le NoCode est en effet accessible mais n’est pas magique comme on peut l’entendre parfois. Il faut s’investir, prendre du temps pour se former et maîtriser les outils." - Stanislas Verjus

Stanislas Verjus

Est-ce que tu peux te présenter et nous parler de ton parcours ?

Aujourd’hui, je me définis plutôt par ce que je fais et ce qui me passionne : le NoCode et le metaverse. J’en suis arrivé au NoCode en 2019 via Glide que j’ai découvert grâce à un prof dans mon école de journalisme. Avant de rentrer dans ce nouveau monde, j’ai fait 3 années d’études (2017-2019) de journalisme. Je réalisais des projets photos et vidéos à côté de l’école. Et je me suis spécialisé dans la vidéo.

Raconte-nous ton histoire avec le NoCode ?

Après la découverte de Glide en 2019, j’ai ensuite passé sa certification en novembre de la même année.

Quelques mois plus tard, en janvier 2020, mes premiers échanges avec Alexis (de Contournement) ont démarré et il a complètement changé ma vision du NoCode. On a ensuite travaillé ensemble sur le développement de la communauté, notamment sur le Slack No-Code France et sa chaîne Twitch.

Est-ce que tes études en journalisme t’aident dans ce que tu fais aujourd’hui ?

Oui, tout à fait. Ça m’aide dans la production de contenus : pour filmer/ monter les vidéos ainsi que pour l’écriture.

Son site web

Quels sont tes projets actuellement ?

En terme des projets, j’ai en plusieurs mais on peut les partager en 4 branches :

  • J’ai la partie formation où je fais des formations en école sur du NoCode (qui peut varier entre cours de NoCode ou des outils précis) ou de la vidéo pour les étudiants des licences jusqu’au master 2 et aussi des professionnels. J’ai également 3 formations disponibles en ligne : une formation Dorik, une autre sur Glide et une dernière sur Gather.
  • Je fais aussi du conseil et de la prestation en NoCode, toujours sur Glide et Dorik.
  • Je crée également du contenu pour ma chaîne YouTube (2 vidéos par semaine) et mon compte LinkedIn (1 post par jour).
  • Enfin, il y a Traverse, le dernier projet, et non des moindres. Traverse est une agence qui accompagne les entreprises sur la création de leurs bureaux virtuels.

Peux-tu nous en dire plus sur Traverse et cette inspiration à créer des bureaux virtuels ?

J’ai découvert Gather car Webflow a fait son hackathon là-bas. Je trouvais l’outil intéressant et j’ai commencé a créé des bureaux virtuels. Je pense que quand une boîte fait du télétravail, elle se doit d’avoir un espace virtuel pour que les collaborateurs se retrouvent.

Je propose aujourd’hui l’espace pour ce bureau virtuel et un accompagnement pour sa mise en place.

Quelle est ta vision du travail en collaboratif en distanciel ?

Je crois beaucoup au télétravail avec les bons outils. Je pense qu’avoir des bureaux physiques c’est intéressant et il faut les avoir, mais aujourd’hui ce sont plutôt des espaces d’échanges. Selon moi, c’est primordial de donner le choix aux employeurs de pouvoir travailler en remote aussi. Les bureaux virtuels peuvent être la solution pour que les collaborateurs gardent le lien entre eux et restent soudés.

Site web Traverse

Et comment tu te sens actuellement en étant indépendant ?

À mon sens, le salariat est synonyme de sécurité, parce qu’il n’y a pas besoin de chercher des clients et le salaire tombe à chaque fin de mois. En tant que freelance, il y a plus de liberté et de flexibilité. Personnellement, je peux travailler d’où je veux, quand je veux. Par exemple, je peux décider de travailler 3 jours cette semaine, puis 7 jours la semaine suivante. En revanche, je pense qu’il ne faut pas procrastiner, on doit être productif car être freelance c’est mener sa barque.

Finalement, être indépendant c’est un mode de vie, un choix de vie. Et je pense que c’est celui qui me convient le mieux, étant proactif !

On a pu remarquer que tu es un multitâche. Tu peux nous décrire une journée type pour toi ?

Chaque journée est très différente. Je me réveille et je vais dans un espace de coworking. Pour l’organisation de mon travail, je suis en mode “marronnier”. Mes tâches sont divisées par bloc et par jour : le lundi matin est dédié à l’écriture de la newsletter du mardi. Le mardi matin est séparé pour les tournages vidéos. Le mercredi, je prépare des formations etc. Tous mes rendez-vous sont toujours organisés entre 14h et 18h pour que je puisse travailler sur d’autres choses le matin.

Quels outils NoCode tu utilises dans ton quotidien ?

J’utilise tous les jours Dorik. Pour m’organiser, j’utilise Notion même si je n’utilise pas toutes les fonctionnalités. Il y a aussi Airtable, que j’utilise de plus en plus pour les bases de données, notamment pour le pilotage de mes formations. Et maintenant, j’ai une passion pour le SEO. J’ai pris un abonnement Ubersuggest où j’analyse les statistiques tous les jours.

Quel a été ton plus gros challenge ?

C’est de faire de la prospection ! J’utilise Waalaxy pour faire de la prospection et je discute avec les gens. Mais je ne sais pas aller chercher des prospects. Une fois qu’ils arrivent et sont intéressés, j’arrive à vendre mon produit mais si ce n’est pas le cas, je rencontre des difficultés à prospecter.

Du coup, je fais du contenu ! C’est un procès plus long mais c’est moins intrusif.

Où en es-tu dans tes projets et quelles sont les pistes pour l’avenir ?

Un de mes projets est de faire grandir ma chaîne YouTube. Avoir plus de vues sur mes vidéos et en produire plus. J’aimerais aussi m’investir un peu plus sur la chaîne Twitch du No-code France.

La création de contenus, c’est formidable, j’adore ça. Et partager mon enthousiasme avec les gens, quel bonheur !

Quels sont les conseils que tu donnerais pour les lecteurs qui souhaitent lancer un nouveau projet ou juste se former au NoCode ?

Se former tout simplement ! Le NoCode est en effet accessible mais n’est pas magique comme on peut l’entendre parfois. Il faut s’investir, prendre du temps pour se former et maîtriser les outils. À l’aide de formations payantes ou pas, d’ailleurs.

On peut retrouver beaucoup d’informations gratuites sur Youtube. Et si c’est galère, il y a toujours le Slack No-Code France pour poser ses questions !

Autre conseil également, kiffer la vie et tenter des choses ! 🦦

Merci pour tes réponses et à bientôt dans un bureau virtuel ! 👋

Partager
Besoin de conseils ?
Dimitri te propose 30 minutes de call gratuit.
Réserver un call

La newsletter SuperForge

1 fois par mois, des interviews, des infos sur l’univers NoCode et sur l’entrepreneuriat. No spam, c’est promis.👌🏻